Les Guérisseurs philippins
Popularisé par le livre du Docteur Jeanine Fontaine, "Médecin au trois corps" dans les années 70, puis par différents ouvrages, documentaires et études, les guérisseurs philippins revêtent une réalité beaucoup plus large que celle souvent décrit et qui en est la partie la plus spectaculaire, celle des "chirurgiens à mains nues", parfois contestable et relevant plus du show que d'une méthode de guérison traditionnelle.
Selon les ethnies -et elles sont innombrables aux Philippines- nous pouvons trouver différents noms et méthodes comme Babaylan (chaman des visayas), Katalonan (shaman tagalog de Luzon), hilot (massage et manipulation articulaire), dons transmis de génération en génération, utilisation d'herbes avec leur préparation, etc...bref, parfois très "spirituel", parfois très "physique", et en aucun cas limité à un seul aspect.
Nori, de son vrai nom Norhani, est issue de l'ethnie maguindanaon, au sud de l’île de Mindanao, une des plus vielle ethnie de l'île et où pendant longtemps les seuls moyens de guérir venait de la nature luxuriante, mais aussi de pratiques plus spirituelles, mélange de soufisme et d'anciennes croyances, ou encore de dons se transmettant de parents à enfants. C'est ce don que Nori a reçu, et qui pourrait faire penser à notre magnétisme occidental par son approche, à la différence qu'elle peut utiliser des supports comme l'huile, l'eau, des plantes ou conseils de vie.
Ayant hésité longuement à utiliser ce don pour le service d'autrui hors de son pays, où les gens le font en libre rétribution, c'est depuis juin 2014 qu'elle décida de l'appliquer sur Lannion, en Bretagne, où elle s'est installée, motivé par son mari, un français ayant vécu aux Philippines et ayant étudié la médecin traditionnelle chinoise à l'Université de MTC de Shanghai, et trouvant dommage que cela reste une trésor caché.
C'est donc quelque chose de tout à fait nouveau et inédit que vous trouverez, car rares sont les philippins en France ayant ce don, qui l'exerce (nous trouvons par contre des philippines pratiquant le massage, appelé Hilot, plus facilement sur Paris, mais sans l'aspect guérisson).
Parrallèlement Nori suit les enseignements de Tony Su Vega, à Manille, concernant les techniques de Hilot, mais aussi de Punong Guro Meclhor Amosco pour l'arnis kali eskrima (art martial philippin), dont elle est la représentante pour la France et peut initier sur demande. Elle porte aussi le titre de "Bai" de par sa lignée noble.
Popularisé par le livre du Docteur Jeanine Fontaine, "Médecin au trois corps" dans les années 70, puis par différents ouvrages, documentaires et études, les guérisseurs philippins revêtent une réalité beaucoup plus large que celle souvent décrit et qui en est la partie la plus spectaculaire, celle des "chirurgiens à mains nues", parfois contestable et relevant plus du show que d'une méthode de guérison traditionnelle.
Selon les ethnies -et elles sont innombrables aux Philippines- nous pouvons trouver différents noms et méthodes comme Babaylan (chaman des visayas), Katalonan (shaman tagalog de Luzon), hilot (massage et manipulation articulaire), dons transmis de génération en génération, utilisation d'herbes avec leur préparation, etc...bref, parfois très "spirituel", parfois très "physique", et en aucun cas limité à un seul aspect.
Nori, de son vrai nom Norhani, est issue de l'ethnie maguindanaon, au sud de l’île de Mindanao, une des plus vielle ethnie de l'île et où pendant longtemps les seuls moyens de guérir venait de la nature luxuriante, mais aussi de pratiques plus spirituelles, mélange de soufisme et d'anciennes croyances, ou encore de dons se transmettant de parents à enfants. C'est ce don que Nori a reçu, et qui pourrait faire penser à notre magnétisme occidental par son approche, à la différence qu'elle peut utiliser des supports comme l'huile, l'eau, des plantes ou conseils de vie.
Ayant hésité longuement à utiliser ce don pour le service d'autrui hors de son pays, où les gens le font en libre rétribution, c'est depuis juin 2014 qu'elle décida de l'appliquer sur Lannion, en Bretagne, où elle s'est installée, motivé par son mari, un français ayant vécu aux Philippines et ayant étudié la médecin traditionnelle chinoise à l'Université de MTC de Shanghai, et trouvant dommage que cela reste une trésor caché.
C'est donc quelque chose de tout à fait nouveau et inédit que vous trouverez, car rares sont les philippins en France ayant ce don, qui l'exerce (nous trouvons par contre des philippines pratiquant le massage, appelé Hilot, plus facilement sur Paris, mais sans l'aspect guérisson).
Parrallèlement Nori suit les enseignements de Tony Su Vega, à Manille, concernant les techniques de Hilot, mais aussi de Punong Guro Meclhor Amosco pour l'arnis kali eskrima (art martial philippin), dont elle est la représentante pour la France et peut initier sur demande. Elle porte aussi le titre de "Bai" de par sa lignée noble.